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La Southern African Research and Innovation Management Association(SARIMA) s’est jointe au Forum des partenaires de l’Initiative des conseils scientifiques (SGCI) 2025 et à la réunion de plaidoyer STISA-2034 à Accra,…

La Southern African Research and Innovation Management Association(SARIMA) s’est jointe au Forum des partenaires de l’Initiative des conseils scientifiques (SGCI) 2025 et à la réunion de plaidoyer STISA-2034 à Accra, au Ghana, soulignant son rôle de pionnier dans l’avancement de la gestion de la recherche et de l’innovation dans toute l’Afrique sub-saharienne.

Accueillie par le ministère ghanéen de l’environnement, de la science et de la technologie, cette rencontre d’une semaine avait pour thème « SGCI @10 : marquer une décennie de partenariat, de croissance et de transformation en faveur du développement de l’Afrique ».

L’événement s’est ouvert sur un cocktail du 10e anniversaire célébrant la décennie d’impact de la SGCI et préparant le terrain pour un plaidoyer de haut niveau, une collaboration et un échange de connaissances.

SARIMA ET SGCI 10
SARIMA et SGCI 10

La SARIMA était représentée par sa présidente, Anna Matros-Goreses, et Zimasa Sobuza, responsable du projet SGCI. Leur participation a souligné le rôle du SARIMA dans le renforcement des systèmes de gestion de la recherche, la promotion de la collaboration et le développement des capacités à travers le continent.

Au cours de la dernière décennie, SARIMA a contribué à la professionnalisation de la gestion de la recherche, a développé des systèmes de gestion des subventions en ligne et a fourni une assistance technique aux conseils de subventions scientifiques.

Grâce à la formation et au développement des capacités, SARIMA a aidé les conseils à concevoir et à numériser les processus d’octroi de subventions, à améliorer le suivi et l’évaluation et à renforcer les partenariats afin d’accroître l’utilisation de la recherche et l’influence des politiques.

Réfléchissant à ce parcours, Mme Matros-Goreses a fait remarquer lors de la célébration de l’anniversaire que « la contribution de la SARIMA s’étend au-delà de cette phase : « À l’avenir, la contribution de SARIMA s’étend au-delà de cette phase, en donnant aux RIMA les moyens de gérer collectivement des écosystèmes de recherche et d’innovation robustes et potentiellement numériques dans toute l’Afrique. »

Lors du forum, M. Sobuza a présenté le travail conjoint de SARIMA et de l’Association ouest-africaine de gestion de la recherche et de l’innovation(WARIMA), en mettant l’accent sur l’assistance technique axée sur la demande fournie au cours de la phase 2 de la SGCI.

Elle a souligné les réalisations en matière de renforcement des systèmes de financement de la recherche, de gestion de la recherche financée, de suivi et d’évaluation, et d’intégration des normes de compétences par le biais du cadre de compétences du SARIMA.

Ces efforts, a-t-elle expliqué, jettent les bases de systèmes évolutifs et interopérables qui favorisent la prise de décisions fondées sur des données probantes sur l’ensemble du continent.

La SARIMA a également mis l’accent sur sa collaboration avec des organismes internationaux de professionnalisation, notamment le Conseil international de la reconnaissance professionnelle, qui contribue à établir des normes professionnelles en matière de gestion de la recherche et de l’innovation dans toute l’Afrique.

Le forum a permis aux dirigeants de SARIMA de dialoguer avec WARIMA, les partenaires financiers, les conseils de subventions scientifiques et d’autres agences techniques.

SARIMA ET CTAS
SARIMA et CTAS

Le SARIMA a également contribué à la session des meilleures pratiques des agences techniques collaboratrices, au cours de laquelle les résultats du projet et les leçons apprises ont été partagés.

Alors que le SGCI se prépare à entrer dans la phase 3 (2026-2030), la SARIMA a réaffirmé son engagement à faire progresser la professionnalisation, à renforcer les capacités de gestion de la recherche et à soutenir la mise en œuvre de l’AU-STISA 2034.

L’association a également salué la création du réseau panafricain des associations de gestion de la recherche et de l’innovation (PAN-RIMA), qui renforcera l’écosystème continental et amplifiera l’impact de la SGCI.

« L’Afrique est prête à devenir un acteur clé dans le domaine de la science », a déclaré Brando Okolo, de l’Agence de développement de l’Union africaine (NEPAD) , se faisant l’écho de l’optimisme qui a caractérisé la semaine à Accra.

Le SARIMA a remercié le ministère ghanéen de l’environnement, de la science et de la technologie, leCentre africain d’études technologiques (ACTS) et tous les partenaires qui ont contribué à la réussite du forum du 10e anniversaire.

Cet article est basé sur un résumé de la conférence fourni par SARIMA.

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Publié le 25 septembre 2025

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