Actualités SGCI

Un nouveau comité consultatif du projet GEI a été mis en place afin de tirer parti des perspectives stratégiques de tous les membres du projet et d’exprimer les valeurs fondamentales…

Un nouveau comité consultatif du projet GEI a été mis en place afin de tirer parti des perspectives stratégiques de tous les membres du projet et d’exprimer les valeurs fondamentales de l’apprentissage par les pairs et de la co-création.

La première réunion du Comité consultatif de collaboration sur le projet de l’Initiative du Conseil scientifique pour l’égalité des sexes et l’inclusion (SGCI GEI) s’est tenue en mai 2023.

S’appuyant sur la représentation de chacun des 13 conseils scientifiques participants, le nouveau comité a pour but d’élargir la porte à la contribution stratégique de tous les conseils, en ajoutant leurs contributions à celles des autres partenaires du projet, tels que le Conseil de la recherche en sciences humaines (HSRC), le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) et Portia.

Adhésion à la PACC   Professeur Lyn Middleton (directeur du projet) HSRC : Dr Ingrid Lynch (HSRC PI), Professeur Heidi Van Rooyen (HSRC Co-PI), Dr Lorenza Fluks (HSRC), Mme Roshin Essop (HSRC), Mme Nazeema Isaacs (HSRC), Mme Pilela Majokweni (HSRC), CODESRIA : Mme Irene Kuetche (consultante technique du CODESRIA, francophone), Mme Felicite Djoukouo (consultante technique du CODESRIA, francophone), Dr Augustine Agugua (consultant technique du CODESRIA), Dr Dzifa Attah (Université du Ghana), PORTIA : Dr Elizabeth Pollitzer, Dr Lilian Hunt, présidente du comité consultatif de l’IEG. JIVE MEDIA AFRICA : M. Robert Inglis  

« Le PACC a été conçu pour exprimer et incarner les valeurs de co-création, de collaboration et d’inclusion qui sont les valeurs fondamentales qui définissent notre projet GEI », a déclaré Lyn Middleton, directrice du projet.

M. Middleton a décrit la PACC comme une « plate-forme permettant de présenter et de faire accepter la stratégie et les meilleurs processus de mise en œuvre ».

Elle a indiqué que le PACC contribuerait à la conception des ateliers, conseillerait et informerait sur les activités de recherche, fournirait un retour d’information sur la mise en œuvre du projet, contribuerait aux rapports techniques du projet et offrirait un soutien par les pairs aux conseils participants.

Tous les membres participeront à une réflexion active sur les progrès de la mise en œuvre, les obstacles et les solutions, a-t-elle ajouté.

L’un des autres avantages du PACC sera de maintenir les réseaux de parties prenantes des conseils impliqués dans les activités de projet de l’IEG visant à renforcer l’IEG dans le cycle d’attribution des subventions de recherche.

Intervenant dans la deuxième phase du projet d’IEG, la formation du PACC profite de la sagesse croissante des membres des conseils de subventions scientifiques quant à l’importance de l’IEG et à la valeur stratégique de la concentration des efforts d’IEG sur le cycle d’octroi des subventions.

Le comité se réunira virtuellement deux fois par an tout au long de la période de mise en œuvre du projet, du 1er décembre 2022 au 1er septembre 2025.

Catégories


Actualités connexes

Sénégal : Les femmes enceintes un peu trop exposées aux pesticides

[DAKAR ] Des femmes enceintes ont été exposées à différents types de pesticides. C’est ce que révèlent les résultats d’une étude menée au Sénégal. Intitulée : « L’impact de l’exposition aux résidus de pesticides sur la santé materno-fœtale », l’étude, réalisée avec l’appui de l’Initiative…

Mieux protéger les projets de recherche pour capter des financements

[BOUAKE] Renforcer les capacités des enseignants-chercheurs, chercheurs et étudiants en matière de rédaction de projets capables de capter des financements et faciliter la réalisation de ces projets, puis les protéger en tant que propriété intellectuelle afin de mieux accompagner le développement de la Côte d’Ivoire…

Dr._Francis_Omujal_showing_Ugandan_Shea_butter_machine

L’Ouganda augmente la valeur du beurre de karité grâce à une technologie qui permet de gagner du temps

[KAMPALA] Pour Ojok Okello, un producteur ougandais de noix de karité, transformer sa récolte en un produit commercialisable a été un processus long et exigeant en main-d’œuvre, écrit Johnnie Musenze. Il lui faut au moins dix heures, avec l’aide de plusieurs ouvriers, pour transformer un…